Bienvenue parmi mes tranches de vie / Welcome among my slice of life

Je suis heureuse de vous compter parmi mes tranches de vie. En espérant sincèrement que mes petites brides de vie sauront vous apporter joie et réconfort! Ainsi, je vous encourage à ajouter la saveur de votre humeur, la couleur de votre journée et exprimer vos émotions sur ce blogue. Sentez-vous bien à l'aise de commenter... la critique constructive permet de s'améliorer et de grandir!

lundi 4 mars 2013

Repère

Source : inconnue


« Le monde est un repère semé de pièges et d’embûches. »
De Marc Gendron

Je parlais avec ma soeur dernièrement et nous avons convenu que plus le temps avance, plus nous perdons nos repères. C'est un fait, le temps a cette force que même les plus grands de ce monde n'ont pu y résister. Nous le savons tous ; le savoir est une chose mais le vivre, à répétition en est une autre. Pouvons-nous nous y habituer? Laissez-moi en douter. Quelqu'un que j'ignore a dit un jour, manque de père, manque de repères.

Nous en sommes là. J'ai quarante ans et depuis plus de dix ans, je perds pieds et mon équilibre est précaire. Mes proches me quittent dans un monde où je ne peux plus les atteindre. Ces gens sont significatifs pour moi, ils sont des figures qui ont modelé mon enfance, structuré mon adolescence et marqué ma vie d'adulte. Tour à tour, j'ai perdu ma soeur aînée en 2001, ma grand-mère maternelle en 2003, mon beau-père en 2005 et ma mère en 2008. La vie a basculée, le vide s'est creusé et mon rétablissement fût long, pénible. Mais j'y suis arrivée... comme plusieurs d'ailleurs. Il semble illusoire mais je me raccroche au peu de repère qu'il me reste. Tout comme ma soeur et probablement mon frère aussi.

La maladie de mon beau-frère m'a frappé comme un 2x4 en plein front. Même si Roch dit qu'il est là pour rester, je connais la triste réalité du cancer et les dommages irréversibles qu'il laisse sur son passage. J'espère de tout coeur qu'il dit vrai ; nous avons un pouvoir sur notre mental et ce dernier a un grand pouvoir sur notre physique. Nous le savons aussi, mais y croyons-nous vraiment? Je parlais avec Magda et je lui ai dit que j'étais pour vivre jusqu'à cent ans. C'est ce que j'ai dit à mes enfants aussi et j'en ai la profonde convinction. Je vais probablement enterrer les gens que j'aime le plus au monde.

Si tel un phare, un repère sert à s'orienter et à se localiser ou même à évaluer et à reconnaître, là se situe toute la souffrance lorsque nous perdons un être aimé avec qui nous avons partagé ses valeurs, ses connaissances, ses expériences, sa vie. Voilà ce que je comprends en ce moment. C'est l'évidence même me direz-vous? Il est indispensable de puiser dans cette lumière pendant qu'elle brille et nous réchauffe car un jour, à notre tour, nous servirons de référence, de guide, de repère pour les enfants de nos enfants.

C'est aujourd'hui ce qui me souffle avec force ma joie de vivre.

samedi 9 février 2013

Une ligne bien mince...

Un peu plus et ça y était, on le perdait...

Jeudi vers 23h ça éclaté... la nuit fût longue et pénible. Le lendemain matin était le 1er février. Il appelait son boss pour lui dire qu'il est malade, impossible de bouger, incapable de manger. Une journée de congé forcée, lui qui ne cesse jamais de travailler. Vendredi soir, s'était insupportable. Son corps enfflait à vue, ses yeux sortaient d'orbite.

C'est alors que ma soeur a dit à mon beau-frère: Ça pas de sens! Il faut aller à l'hôpital! Je ne peux pas partir chez mon amie et te laisser comme ça! Je vais appeler une ambulance. Mon beau-frère transi de douleur lui répond qu'il ne veut pas d'ambulance car il y aura une facture à payer. Ma soeur insiste de nouveau et il accepte de se faire conduire à l'hôpital.

Arrivés sur les lieux, l'équipe d'urgence a pris la situation en main. Ma soeur travaille dans cet établissement et l'équipe a permis à ma soeur de demeurer sur place et assister au branle-bas-de combat avec un calme et un aplomb professionnel. Rapidement, mon beau-frère a été transféré au bloc opératoire.

Pendant que mon beau-frère se battait pour sa vie en salle d'opération, ma soeur m'appelle pour me donner des nouvelles et je vais la rejoindre incessamment... impuissante certe, mais sympathique à la douleur qu'elle ressent si vivement. Après deux heures nous avons des nouvelles d'un externe mais ce charabia m'est inconnu, je me sens tellement loin des explications, ma tête est ailleurs. Trois heures plus tard, nous avons un portrait global de la situation par le médecin qui l'a opéré.

Roch a eu un trou dans l'estomac à cause d'un ulcère qui a cédé. La bile s'est déversée dans son abdomen, environ trois litres d'acide l'empoisonnait à petit feu. Si ma soeur avait été absente, si mon beau-frère attendait un peu plus il en mourrait. Le médecin ne comprend toujours pas comment un homme ait pu tolérer pendant un jour et une nuit une telle douleur. S'ajoute à ça, son coeur qui battait la chamade, sa jambe gauche était rendue bleue et s'emgourdissait à cause d'un caillot... et sa jambe droite commençait à subir le même sort.

Le médecin nous a fait un bilan sommaire de la situation, l'état de santé de notre beau-frère est très précaire. Son estomac a été rapiécé et il disait ne pas savoir si sa jambe gauche pourrait être sauvée ou à tout le moins il aurait un pied pendant. Les tissus de son estomac sont très affectés et l'endroit où l'ulcère s'est développée est discutable. En ce qui concerne ses poumons, on en parle pas pour l'instant car un échantillon de tissu sera envoyé au labo pour analyse. Nos émotions étaient mitigées. Nous étions tristes de le savoir si hypothéqué en sachant que ce n'est qu'un aperçu qui nous a été révélé... mais nous étions heureuses qu'il soit vivant. 

Vers 2h du mat, j'arrivais à la maison, le sommeil dans les yeux, le cerveau engourdie et le coeur profondément douloureux. Morphée m'a fait faux bon. J'avais tellement de choses qui tournaient dans ma tête! S'en sortira-t-il? Pourquoi une ulcère si haut dans l'estomac, selon le docteur, d'habitude elle se développe près du duodénum? A-t-il le cancer? Et que diront les analyses pour ses poumons? Il fume comme un engin, espérons que ce poison n'aura pas raison de lui comme il a tué ma mère! D'autres questions se bousculent... Est-ce qu'il pourra marcher à nouveau et même travailler? Avoir une vie normale? Il faut informer ses enfants, rejoindre sa famille, soeurs, frère! Son patron! Ouf! Tout ça arrive si vite!

Ma soeur Magda est très inquiète. Elle demeure avec Roch mais elle n'est pas sa conjointe. Mon beau-frère était le chum de ma soeur Audrey décédée en 2001 suite au cancer du sein. Il était convenu que ma petite soeur habite avec eux avant que la maladie emporte mon aînée. Il est comme notre grand frère que nous n'avons pas. Nous le connaissons depuis notre tendre enfance, il était l'ami de nos parents et ensuite, il a conquis le coeur de ma grande soeur. C'est un amour! Un vrai! Depuis, ma cadette et lui veillent un sur l'autre. Cet homme est tellement réservé et généreux, c'est l'ami qui écoute, qui est toujours là pour tous, disponible mais qui ne s'impose jamais, ne dit pas un mot plus haut que l'autre. À 54 ans, toujours le sourire aux lèvres, Roch n'a jamais refait sa vie. Nous ne savons jamais ce qui se cache derrière ses yeux rieurs mais je crains qu'au fond de son coeur, douleur et joie sont intimement liés.

Le lendemain, il est rentré en salle d'opération à nouveau. Après avoir retiré un caillot d'environ 15 pouces, pourra-t-il un jour recommencer à bouger sa jambe et sentir son pied. Pourra-t-il marcher? Il est encore trop tôt pour savoir mais il est entêté et il y arrivera. Nous avons été le voir, moi, mon conjoint et les enfants à raison de 15 minutes à l'heure pour ne pas l'épuiser et nuire à l'équipe traitante. Il était intubé de partout, le corps endommagé, méconnaissable dû au choc qu'il a subi. Les enfants ont fait le saut. Ne sachant quoi dire, la terreur dans les yeux et la douleur au ventre, nous avons quitté. J'aime tellement mon beau-frère! Je reviendrai te chatouiller demain, lui ai-je souffler à l'oreille.

***

Ça fait maintenant une semaine que mon beau-frère est aux soins intensifs. Magda lui rend visite trois fois par jour, m'appelle au boulot sur mon heure du diner pour me donner le pouls de son état et me préparer mentalement et émotionnellement. Chaque soir en finissant de travailler, je passe lui dire bonjour, lui demandant s'il a eu de la visite, l'informant des nouvelles du jour. Avec une pointe d'humour, il me parle le souffle court et avec difficulté de ses journées sachant très bien qu'elles sont longues, pénibles, sans sommeil, aux douleurs persistantes, le corps démoli de l'intérieur et qui se remet tranquillement. Je lui ai dit que j'aurai pu éviter d'emmener les enfants et il m'a dit: au contraire, c'est important qu'ils voient... c'est important de faire attention à sa santé. Les yeux voilés... je lui ai souri tendrement.

***

Il n'est pas utopique de désirer ardemment vivre qu'importe ce qui nous arrive, de vouloir s'en sortir malgré les épreuves que la vie nous envoie. Nous savons tous qu'il y a des limites à l'utlisation inadéquate de notre si belle machine et elle nous le rappelle parfois drastiquement. Je continue à penser que si nous croyons vraiment, nous pouvons faire de petits miracles. Fidèle à la vie, je demeure optimiste mais réaliste. Comme nous pouvons le constater dans des moments aussi pénibles, la ligne entre la vie et la mort est bien mince. Le dicton le dit si bien, une journée à la fois... alors continue à te battre Roch! Mes pensées, mon coeur et mon énergie sont avec toi!
Je t'aime gros Xxx

En passant, je veux juste dire un gros merci! Merci aux équipes d'urgence de l'Hôpital Maisonneuve-Rosemont, du bloc opératoire et des soins intensifs qui ont si bien oeuvrées auprès de Roch et qui se dévoues encore aujourd'hui pour lui sauver la vie, le soulager de ses douleurs et lui rendre le quotidien un tant soit peu, vivable ;)

Carina

mardi 29 janvier 2013

Funambule


Source: http://www.nicolasschiff.com/creations.php
Je vis mes émotions, je vous les partage par l'écriture ou mon silence.
Peu m'importe...
Les lettres comme les vides laissent inévitablement des traces dont il s'agit de s'en imprégner pour en comprendre le sens et la portée.
Je suis silencieuse, bien silencieuse...
Réfléchir... Ressentir...
Mon silence, mes émotions me pèsent lourdement...
Pourtant! J'aimerais tellement m'exprimer.
Pendant ce temps, la page demeure sans couleur...

***
Je ne sais pas si vous vous êtes déjà arrêté à ce que les gens pensent de vous? Moi, plus d'une fois. Sincèrement, je n'envisage pas qu'on puisse penser quoique ce soit de moi. J'existe, je fais des choix pour moi, pour les miens. Je fais du mieux que je peux avec les connaissances et l'expérience acquises afin d'être bien et de rendre les gens heureux autour de moi.

Toutefois, j'ai revu une amie dernièrement, une aventurière qui poursuit sa quête d'amour et d'équilibre. Elle est de retour d'un périple d'un an. Elle est rafraichissante et merveilleuse et c'est pourquoi, je laisserai parler l'intensité des mots de mon amie Maridi. Sa poésie touche vicéralement ; elle possède le verbe dans l'âme et son message m'a profondément ému. Je vous en reparlerai prochainement car elle est vraiment une fille extra. Mais pour l'instant, je vous partage ce qu'elle pense de moi, qui l'eut cru... moi, son «amie funambule» comme elle me surnomme si affectueusement. Vous verrez bien pourquoi.


« Carina l'amie funambule

Tout le monde devrait avoir une amie funambule.  Énergique mais à la fois, calme et réfléchie, Carina se promène sur ma ligne de vie, essayant de garder l'équilibre sur tout ce que je peux lui raconter. Pas toujours facile de me suivre et d'avancer sur ma corde qui semble traverser la terre éternellement! Parfois ensoleillée, desséchée, bousculée par le vent ou soumise à toutes sortes d'intempéries, elle avance courageusement, la tête bien droite, ne regardant ni en arrière, ni en bas, tentant de me rejoindre, en plein vertige, sur mon fil de fer complètement déstabilisé.  

Mais Carina se pointe impérativement toujours le bout du nez à tout mes départs et mes nombreuses arrivées, qui se reproduisent, en cycles successifs, croisant la scène de sa vie.  Sa présence est un cadeau ensoleillé et même à distance, elle rayonne à illuminer mes angoisses de l'obscurité et mes doutes projetés dans le ciel étoilé. Cette funambule, indéniablement douée pour la croissance personnelle et le sport, se tient en ballant entre la force et la faiblesse.  Sensible et généreuse, elle à tendance à s'oublier pour se dédier à son entourage. Pas de mise en scène écrite à l'avance, elle est franche mais avec une telle délicatesse, qu'elle pourrait communiquer l'inconcevable dans toute son intégralité.  D'un naturel plutôt intravertie, avec son éclaboussant sourire, elle se démarque parmi la foule et se retrouve toujours, bien malgré elle, à capter plus d'intérêt que n'importe quel extrovertie bien articulé.  

Cette sociologue n'est pas la plus sociale mais elle est certainement la plus socialement respectée de tous. On la jalouse, certainement en silence, d'être si humble et discrète, mais d'avoir autant de charme et de personnalité. Franchement jolie avec ses yeux verts perçants et son petit minois naturellement souriant, un corps d'athlète et une âme si délicate, qu'elle parait flotter sur son fil dans une légèreté en mouvement continuel. Carina est l'amie attentionnée qui ne laissera jamais personne souffrir inutilement; elle est le filet de sécurité qui te donnera la force de remonter et de recommencer à marcher; elle est le fil de fer qui te guidera vers la réalisation de tes rêves; elle est le public qui te visualisera sous une autre perspective; mais surtout, elle est la funambule qui te servira de mentor.  Elle a de ses yeux de chats qui perçoivent l'invisible dans la moindre déviation du regard, une dévotion naturelle pour comprendre les sphères émotives et un respect incommensurable de chaque être indéniablement différent.  Pleines de qualités, elle travaille tellement sur elle-même, qu'elle en est presque devenue parfaite!

L'amitié de Carina c'est comme un petit singe qui te tape sur l'épaule quand tu es au loin, te fais un câlin quand tu n'es pas loin, te souffle à l'oreille des mots émotifs quand ta gorge est coincée et devient un petit ange, qui s'appuie sur ton épaule, pour te soulager ou t'encourager. Carina est l'amie funambule que j'adore et à qui, je ne dirai jamais suffisamment merci d'être tout simplement ce qu'elle est et, d'être continuellement présente dans mon univers théâtral et débordant de folies! Toujours à la poursuite de mes rêves et épris d'un désordre incompréhensible sous mes pieds, Carina conserve toujours sa main sur ma ligne de vie écrite dans la mienne.  Il est toujours important de dire ce que l'on a dire, car la vie est une ficelle tout de même bien fragile, alors, je t'aime gros ma belle amie!!! xxx »

***
Je suis silencieuse, bien silencieuse... voilà pourquoi.
Je réfléchis l'existence, je vis profondément la vie, je respire vivement les relations et j'en retire une joie immense que je vous partage par l'écriture, mon silence ou mes amitiés ;)

Merci Maridi


C. Xxx

dimanche 20 janvier 2013

Alain

La semaine dernière, je vous ai parlé de mon ami qui a quitté cette vie subitement, sans crier gare ni laisser mot pour exprimer son désarroi. Toutefois, cachée derrière ce sourire, la souffrance le rongeait et imprégnait tout son âme. J'ai eu du mal à regarder les photos sans pleurer tellement l'incompréhension et l'injustice faisaient rage. J'ai choisi de recueillir ces quelques images pour m'aider à faire le deuil mais aussi, pour immortaliser ce joyeux luron et quelques moments heureux vécus.

Je vous présente affectueusement Alain...
Source : Carina, Magda, Alain, et amis
 

mercredi 16 janvier 2013

Mot d'enfant (prise 28)

Comme j'étais sur mon départ pour le boulot, je prends mon fils dans mes bras, je l'embrasse et je lui dis:

- Passe une bonne journée mon coeur!

- Toi aussi mon poumon! me lance-t-il joyeusement.

J'avoue que ça m'a pris quelles secondes avant d'assimilier l'information... Après coup, j'ai éclaté de rire parce que j'ai trouvé sa blague vraiment bonne!

Mausus que ça me manquait ces petits jeux de mots! Et vous?

Bon nombril de semaine à tous!

dimanche 13 janvier 2013

Départ précipité

Photo de Alain Favreau prise à Vancouver été 2011

« La personne qui remonte le moral des autres et qui contribue au bonheur général est souvent la personne la plus triste et seule, alors ne l'abandonnez pas, car elle n'avouera jamais qu'elle a besoin de vous. »


Ça fait une semaine déjà que Alain s'enlevait la vie, sans possibilité de retour en arrière, retour tenté mais en vain... C'est un début d'année difficile pour plusieurs, en occurence pour ma soeur.

Alain était un collègue de travail mais surtout, le meilleur ami de ma sister et il prenait une place de choix dans son coeur. Il était unique, drôle, coquet, il avait des histoires qui décoiffaient et il était un vrai bout-en-train. Je l'ai connu comme ça et c'est de cette façon que sa mémoire perdurera. Il a été un homme blessé par une enfance souffrante, une adolescence déroutante, une vie déchirée, rapiécée mais jamais réparée. Somme toute, selon ma compréhension, Alain a fini par se trouver, s'affirmer et il s'est engagé dans une cause qui lui tenait à coeur. Il était l'ami que tous appréciaient à sa juste valeur. Il était le grand frère pas toujours sage qui était toujours là pour ma soeur et sa p'tite Fay des étoiles. Un véritable ami, un vrai amour quoi!

Je l'ai connu dans ses meilleurs moments, heureux, toujours prêt à s'amuser, bien avec lui-même. Quand je le voyais, ça allait bien. Ma soeur l'a connu dans ses hauts et dans ses bas, ces deux-là partageaient joies et peines... à vrai dire, c'est à ça que ça sert les amis! Toutefois, il y a des gestes incompréhensibles qui sont posés dans un moment qui peut sembler une éternité, insurmontable. J'ai lu quelque part qu'il ne faut jamais prendre de décision définitive sous le coup d'une émotion qui n'est que temporaire. J'en ressens toute la portée aujourd'hui. C'est triste et douleureux, toujours trop douloureux ces décollages précipités, ces départs hâtifs. Pour ma soeur, c'est la deuxième fois. Il y a vingt ans, sa meileure amie décédait d'un accident de voiture et là son «best» s'enlève la vie...

***

Un mot de moi à toi...

Alain,
Dans notre coeur, l'arbre laisse toujours filtrer la lumière à travers ses branches que même les nuages, le brouillard ou la noirceur ne peuvent en atténuer l'intensité... Il arrive que même très bien entouré de ses semblables, l'arbre ne la voit pas. Mais elle est là et brille de tous ses feux. Si tu n'as su trouver tes réponses dans la vie, j'espère que la nuit te les chuchotera... 
Je t'aime gros et tu resteras dans mon coeur.
Que la paix t'accompagne dans l'autre monde
Xxx

mardi 1 janvier 2013

Bonne Année!




Source inconnue
 
Cette photo circule sur les réseaux sociaux et pour cause.
À défaut d'avoir les mots et l'émotion pour vous exprimer mes propres voeux, je vous transferts simplement cette image originale avec des souhaits que je trouve somme toute assez complets.
Allez! Servez-vous!

En ce début d'année, afin de bien accompagner les mots amour et joie, j'ajoute à cette liste, bienveillance et gratitude avec ceux que vous côtoyez et ceux que vous croiserez... Sans aucun doute, vous vous sentirez bien, fort et heureux.
J'ai déjà entendu dire que la création d'un état positif en soi et autour de soi, engendra des émotions positives ; conséquemment, il faut renoncer au négatif.

Ajoutez à cela, le pardon. Pardonner? Mais pourquoi donc?
Se pardonner et/ou pardonner à l'autre permettra de bien vivre votre vie présente. Certes, il n'efface pas le passé mais il est la fenêtre sur votre avenir.

Alors n'hésitez pas à vous libérer, pardonnez et...
débutez l'année avec l'esprit paisible et le coeur léger! ;)